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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 20:13

j ai ecrit un article dimanche que j ai aussi supprimé en voulant mettre dans mes archives les derniers echanges. j ai perdu mes archives. j ai perdu vos messages. Je vous presente mes excuses. A Anomyme : je vais bien, A Carla j'ai bcp pensé à toi.

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 19:08

Psychiatre et psychothérapeute, le docteur Christophe André aide à mieux comprendre les mécanismes de l'estime de soi. Selon lui, tout ne se joue pas au moment de la petite enfance et il est donc possible d'agir à tout âge.

 

J AI DONC DE L ESPOIR!!!!!!!!!!

 

 

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 13:34

Bonjour à tous,

Orion,  tout ce que vous ecrivez est tres juste, c'est rare pour un homme d'arriver à exprimer une telle histoire avec tant d'honneteté et de clairvoyance...

Mais il faut accepter que même dans l'absence ils sont encore là...présents dans notre mémoire et ce, même si nous les detestons profondément...

Aussi, je crois en la guérison de notre cerveau ....

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 16:10
mais je suis toujours en train d'essayer de comprendre pourquoi MOI je réagis et j'ai réagis comme ça face à un tel être destructeur...

voici un article récent http://legraoullydechaine.fr/2011/a-la-une/psychologie-la-perversion-narcissique/

 

Le terme de Perversion narcissique a été évoqué pour la première fois par Paul Claude Racamier en 1986 dans  Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique.

Il reste peu utilisé en psychanalyse en dehors des frontières françaises car peu différent de la simple perversion.

Qu’est ce que la perversion ?

 

Savério Tomasella la définit comme «  une anti-relation, elle ne fonctionne que sous le mode du rapport, elle ne produit que des rapports de force, donc de pouvoir : séduction, emprise, domination. [...] La perversion joue sur tous les tableaux. Elle mêle l’inversion de la réalité à la banalisation des situations graves et au déni des actes profanateurs. Elle prône l’impudeur et le non-respect de l’intimité, échange fausses confidences contre confidences forcées, renverse les principes humains, retourne les situations en défaveur de la vérité et empoisonne pour garder l’autre en prison malgré lui…« 

Le pervers reconnait difficilement les qualités d’autrui et se surestime. Il manque cruellement d’empathie tant il est centré sur lui-même.

Voici les ruses et stratégies dont usent un(e) pervers(e) narcissique (source : http://profil-pervers-narcissique.blogspot.com/ ) :

Séduction, jeu sur les apparences
Contrairement au pervers de caractère, qui irrite son entourage par ses revendications et nie radicalement l’autre, le pervers narcissique, lui, réussit à créer un élan positif envers lui. Comme toute personne manipulatrice, il sait se rendre aimable.
Il change de masque suivant les besoins, tantôt séducteur paré de toutes les qualités, tantôt victime faible et innocente. Il a un souci scrupuleux des apparences, donnant le plus souvent l’image, valorisante pour son ego, d’une personne parfaite, image qui cache son absence d’émotion, d’amour, de sincérité et d’intérêt pour tout ce qui n’est pas lui. Il ne s’intéresse pas à la réalité, tout est pour lui jeu d’apparences et de manipulation de l’autre. Il excelle à susciter, amplifier et faire alterner chez l’autre regrets et peurs.
Dissimulation
Le pervers agit à l’abri des regards. Les maltraitances sont rarement sous le feu des projecteurs, mais plutôt perpétrées dans le secret des alcôves. Les pervers sont les professionnels de la double vie et de la double personnalité.
Mimétisme
Ce sont de véritables caméléons, aptes à mimer les attitudes et les paroles de son interlocuteur pour susciter chez lui l’illusion d’un accord parfait, d’une entente exceptionnelle qui ne cesse de s’approfondir. Le mimétisme est d’ailleurs l’une des techniques employée par la Programmation neuro-linguistique. Faites lui rencontrer un véliplanchiste et il fera de la planche à voile.
Diviser, cloisonner ses relations
Par prudence, il divisera et cloisonnera ses relations, afin qu’on ne puisse pas recouper ses mensonges ou que ses victimes ne risquent pas de se s’allier contre lui. Sa technique, dans ce domaine, finit par être magistrale.
Vous encenser pour mieux vous couler
Il commence par vous encenser. Vous êtes le meilleur, le plus doué, le plus cultivé… Personne d’autre que vous ne compte pour lui (il n’hésite d’ailleurs pas à dire la même chose successivement à plusieurs personnes). Ces éloges et ces protestations d’attachement lui permettent de mieux « vous couler » ensuite en jouant sur l’effet de surprise, et de vous atteindre d’autant plus que vous ne vous attendiez pas à l’attaque et qu’il a en outre pris soin de choisir précisément le moment où vous pouviez le moins vous y attendre.
Se valoriser sans cesse et dévaloriser l’autre
Les narcisses cherchent à évoluer sous les feux de la rampe, à choisir des situations où d’autres pourront les admirer. Ils veulent capter l’attention de leurs semblables qu’ils considèrent, par ailleurs, comme de simples faire-valoir, victimes potentielles qu’ils n’hésiteront pas à critiquer en public, souvent insidieusement.
Le principe d’autorité
Il utilise son pouvoir de séduction, ses talents de comédien, son apparence de sérieux, toutes les facettes de ses « personnalités » pour s’imposer. Il aime arrêter toute discussion par quelque phrase définitive, utilisant le principe d’autorité : « Je suis malade ! », ou bien « Tu te rends compte de ce que tu me demandes ! », « Je ne peux pas discuter avec toi pour l’instant, tu vois bien que je suis pris ».
L’induction (suggérer l’idée à l’autre)
La grande force du pervers narcissique est l’art de l’induction.
Il s’applique à provoquer chez l’autre des sentiments, des réactions, des actes, ou, au contraire, à les inhiber. Il fonctionne en quelque sorte comme un magicien maléfique, un hypnotiseur abusif, utilisant successivement injonctions et séduction. Evitant d’exprimer à l’autre ce qu’il pense, de l’éclairer sur ses intentions, il procède par allusion, sans jamais se compromettre. Pour mieux duper, il suscite chez l’autre un intérêt pour ce qui va faire l’objet de la duperie, qu’il va rendre aussi alléchant que possible sans jamais en parler ouvertement. Etalant connaissances, savoir, certitudes, il va pousser l’autre à vouloir en savoir plus, à convoiter l’objet en question et à exprimer son désir de se l’approprier .
Il procède de la même façon s’il a l’intention a priori de refuser quelque chose. L’autre, qui n’avait pas l’idée de demander quoi que ce soit, va se sentir pris à contre-pied sans savoir exactement pourquoi : il se promettra alors de ne jamais demander quelque chose, il doutera de sa propre honnêteté, ou même se sentira suspect, entrant inconsciemment dans le jeu du pervers narcissique. Ce dernier, pour prendre l’ascendant sur sa « victime », assortira volontiers son discours d’un message moralisateur et s’affichera comme un être « noble et pur », contraignant l’autre qui ne veut pas être repoussé à s’identifier à cette morale, que cela soit dans l’acceptation ou le refus de la chose suggérée.
Faisant parler le pervers narcissique, Alberto Eiguer écrit : « Il faudrait que vous agissiez de sorte qu’il ne reste aucun doute que vous êtes moi… et que tout ce que vous faites, dites ou éprouvez, confirme que je suis le seul, moi, le plus grand et cela même au prix de votre propre disqualification ». On touche ici au fondement de l’induction narcissique.
Contradictions ou contradictions apparentes
Un jour, relâchant sa vigilance, content et fier de son coup, le pervers narcissique pourra même se vanter auprès de tiers auxquels il prête ses propres pensées, de son succès, l’autre l’avait mérité, puisqu’il « n’avait qu’à ne pas être si bête et si naïf ».
Mais même quand les contradictions de son comportement éclatent semant alors le doute sur sa personnalité, ses intentions ou sa sincérité, il parvient le plus souvent à rattraper ses erreurs et à restaurer la belle image de lui-même qu’il a laissée se fissurer par manque de prudence. Il affirmera alors, par exemple, qu’il a plaisanté et qu’il ne cherchait qu’à tester son interlocuteur.
La plupart du temps, on lui pardonnera malgré tout, parce qu’il sait se rendre sympathique et surtout parce qu’il a toujours une explication pour justifier un comportement soudain contradictoire. L’erreur « désastreuse » sera mise sur le compte d’une faiblesse momentanée, d’une fatigue, d’un surmenage, d’une maladie. Finalement, on se dira que toute personne « parfaite » est faillible.
« Le pervers narcissique, […] aime la controverse. Il est capable de soutenir un point de vue un jour et de défendre les idées inverses le lendemain, juste pour faire rebondir la discussion ou, délibérément, pour choquer. » (Marie-France Hirogoyen, Le Harcèlement moral, page 108)
Emploi de messages paradoxaux
Le pervers narcissique se complaît dans l’ambiguïté. Par ses messages paradoxaux, doubles, obscurs, il bloque la communication et place sa victime dans l’impossibilité de fournir des réponses appropriées, puisqu’elle ne peut comprendre la situation. Elle s’épuise à trouver des solutions qui seront par définition inadaptées et rejetées par le pervers dont elle va susciter les critiques et les reproches. Complètement déroutée, elle sombrera dans l’angoisse ou la dépression (voir Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », « La communication perverse », p. 111).
Calomnies et insinuations
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! » (Beaumarchais).
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d’y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses. À la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.
Il usera du pouvoir de la répétition et ne cessera pas de semer le doute sur l’honnêteté, sur les intentions de l’adversaire qu’il veut abattre s’appuyant sur la tendance humaine à croire « qu’il n’y a pas de fumée sans feu ».
Fausse modestie
Lors de l’utilisation de la technique de l’induction (voir plus haut), il se présente bien volontiers comme une personne modeste, n’osant pas proposer ses solutions ou l’objet de sa duperie (l’appât), l’objet qu’il veut soumettre à la convoitise de l’autre.
Comme un rusé paysan, il est capable parfois de se faire passer pour bête et naïf, prêchant le faux pour savoir le vrai. Un très bon moyen de guerre psychologique pour tirer les vers du nez d’une personne trop pleine de certitudes.
Confusion des limites entre soi et l’autre
Le pervers narcissique n’établit pas de limites entre soi et l’autre. Il incorpore les qualités de l’autre, se les attribue pour pallier les faiblesses de sa véritable personnalité et se donner une apparence grandiose. Ces qualités qu’il s’approprie, il les dénie à leur véritable possesseur, cela fait partie intégrante de sa stratégie de la séduction. « La séduction perverse se fait en utilisant les instincts protecteurs de l’autre. Cette séduction est narcissique : il s’agit de chercher dans l’autre l’unique objet de sa fascination, à savoir l’image aimable de soi. Par une séduction à sens unique, le pervers narcissique cherche à fasciner sans se laisser prendre. Pour J. Baudrillard, la séduction conjure la réalité et manipule les apparences. Elle n’est pas énergie, elle est de l’ordre des signes et des rituels et de leur usage maléfique. La séduction narcissique rend confus, efface les limites de ce qui est soi et de ce qui est autre. On n’est pas là dans le registre de l’aliénation – comme dans l’idéalisation amoureuse où, pour maintenir la passion, on se refuse à voir les défauts ou les défaillances de l’autre -, mais dans le registre de l’incorporation dans le but de détruire. La présence de l’autre est vécue comme une menace, pas comme une complémentarité. » (Marie-France Hirigoyen, Le Harcèlement Moral, p. 94).
Utilisation de fausses vérités énormes ou crédibles
La communication perverse est au service de cette stratégie. Elle est d’abord faite de fausses vérités. Par la suite, dans le conflit ouvert, elle fait un recours manifeste, sans honte, au mensonge le plus grossier.
« Quoi que l’on dise, les pervers trouvent toujours un moyen d’avoir raison, d’autant que la victime est déjà déstabilisée et n’éprouve, au contraire de son agresseur, aucun plaisir à la polémique. Le trouble induit chez la victime est la conséquence de la confusion permanente entre la vérité et le mensonge. Le mensonge chez les pervers narcissiques ne devient direct que lors de la phase de destruction, comme nous pourrons le voir dans le chapitre suivant. C’est alors un mensonge au mépris de toute évidence. C’est surtout et avant tout un mensonge convaincu qui convainc l’autre. Quelle que soit l’énormité du mensonge, le pervers s’y accroche et finit par convaincre l’autre. Vérité ou mensonge, cela importe peu pour les pervers : ce qui est vrai est ce qu’ils disent dans l’instant. Ces falsifications de la vérité sont parfois très proches d’une construction délirante. Tout message qui n’est pas formulé explicitement, même s’il transparaît, ne doit pas être pris en compte par l’interlocuteur. Puisqu’il n’y a pas de trace objective, cela n’existe pas. Le mensonge correspond simplement à un besoin d’ignorer ce qui va à l’encontre de son intérêt narcissique. C’est ainsi que l’on voit les pervers entourer leur histoire d’un grand mystère qui induit une croyance chez l’autre sans que rien n’ait été dit : cacher pour montrer sans dire. » (Marie-France Hirigoyen, Le Harcèlement moral, page 94)
Il use d’un luxe de détails pour éteindre la vigilance de ses proches. « Plus le mensonge est gros, plus on a envie d’y croire. »
Se poser en victime
Lors des séparations, les pervers se posent en victimes abandonnées, ce qui leur donne le beau rôle et leur permet de séduire un autre partenaire, consolateur.
Il peut se faire passer pour faible, pour le « chien perdu sans collier », prendre la mine de chien battu, les yeux tristes, dont voudront alors justement s’occuper les femmes maternelles, dévouées, celles ayant une vocation de dame patronnesse, celles n’existant que par le dévouement à autrui, celles qui deviendront souvent leurs future victime. Cela afin de mieux faire tomber dans ses filets
Il a d’ailleurs un talent fou pour se faire passer pour une victime. Comme il a un talent fou, pour se faire passer pour malade ou irresponsable ou tirer profit d’une maladie (imaginaire ou réelle), d’un accident, user ou abuser d’un handicap réel etc.
Création d’une relation de dépendance
L’autre n’a d’existence que dans la mesure où il reste dans la position de double qui lui est assignée. Il s’agit d’annihiler, de nier toute différence. L’agresseur établit cette relation d’influence pour son propre bénéfice et au détriment des intérêts de l’autre. « La relation à l’autre se place dans le registre de la dépendance, dépendance qui est attribuée à la victime, mais que projette le pervers [sur l’autre]. A chaque fois que le pervers narcissique exprime consciemment des besoins de dépendance, il s’arrange pour qu’on ne puisse pas le satisfaire : soit la demande dépasse les capacités de l’autre et le pervers en profite pour pointer son impuissance [celle de sa victime], soit la demande est faite à un moment où l’on ne peut y répondre. Il sollicite le rejet car cela le rassure de voir que la vie est pour lui exactement comme il avait toujours su qu’elle était » (Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », page 115).
Inhiber la pensée critique de la victime
Lors de la phase d’emprise, la tactique du pervers narcissique est essentiellement d’inhiber la pensée critique de sa victime. Dans la phase suivante, il provoque en elle des sentiments, des actes, des réactions, par des mécanismes d’injonction ou d’induction. « Si l’autre a suffisamment de défenses perverses pour jouer le jeu de la surenchère, il se met en place une lutte perverse qui ne se terminera que par la reddition du moins pervers des deux. Le pervers essaie de pousser sa victime à agir contre lui (et à la faire agir d’une façon perverse) pour ensuite la dénoncer comme « mauvaise ». Ce qui importe, c’est que la victime paraisse responsable de ce qui lui arrive ». (Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », page 122).
Le plus dur pour la victime est de ne pas rentrer dans le jeu, en particulier le jeux des conflits artificiels, provoqués par le pervers.
Tactique du harcèlement moral pervers
Isoler quelqu’un, refuser toute communication, ne pas lui transmettre de consignes, multiplier les brimades, ne pas lui donner de travail ou un travail humiliant, au contraire, lui donner trop de travail ou un travail largement au dessus de ses compétences etc… les cas de figure du harcèlement moral, du bizutage ou du mobbing, telles sont les tactiques du harcèlement moral, pouvant se décliner à l’infini.
Selon la définition la plus courante « Le harcèlement moral est un ensemble de conduites et de pratiques qui se caractérisent par la systématisation, la durée et la répétition d’atteintes à la personne ou à la personnalité, par tous les moyens relatifs au travail, ses relations, son organisation, ses contenus, ses conditions, ses outils, en les détournant de leur finalité, infligeant ainsi, consciemment ou inconsciemment, une souffrance intense afin de nuire, d’éliminer, voire de détruire. Il peut s’exercer entre hiérarchiques et subordonnés, de façon descendante ou remontante, mais aussi entre collègues, de façon latérale ».
Tactiques ultimes (sur le point d’être confondu)
Si un emballement peut conduire le pervers narcissique à commettre des actes de violence, il évite soigneusement de se faire « emballer » par la police et la justice. Pour cela, il maîtrise l’art de « l’emballage » des faits dans le discours. Pour paraphraser Philinte, dans « Le Misanthrope » : « Toujours, en termes convaincants, ses dénégations sont dites ». Acculé, il peut se faire passer pour fou, irresponsable de ses actes, car on sait que les fous peuvent tout se permettre (article 122-1 du nouveau code pénal).
En conclusion, si vous croisez une personne souffrant de cette pathologie, il est extremement difficile d’arriver à lui faire comprendre qu’elle est en difficulté ; le risque est grand pour vous de souffrir énormément dans une relation avec elle et de finir ereinté et victime de ses agissements.
http://legraoullydechaine.fr/2011/a-la-une/psychologie-la-perversion-narcissique/
 

 

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 19:29

images de lui, des envies de lui, des mots de lui, des rêves de lui? et oui c'est par période...

 

moi qui me croyais guérie car ca faisait vraiment longtemps que je vivais bien sans lui

 

mais il reste encore des traces

indélébiles

 

c'est moi la débile

 

de ressentir encore des choses

pour cette gueule de vide ordure

 

 je lutte je vous assure

 

mais que faire contre notre inconscient?

que faire contre des reves dans lesquels vous ne faites pas semblant?

 que faire contre des images qui vous sautent à la figure?

 

pourquoi les larmes remontent ce soir

en raison d'un article d'une connaissance sur la solitude, sur sa solitude?

 

je ne sais pas mais je crois en fait  que je ne voulais pas la voir

 

CETTE PUTAIN DE SOLITUDE

 

les sanglots m empechent de respirer

pardon à vous que je vais décevoir

mais ce soir je n'ai plus d'espoir

 

 

 

 

une chanson sur l'absence...respect...

 

 Michel Berger "la minute de silence"

 

Un soir, tu trouveras des brouillons dans leur cachette

pour voir, tu sortiras les disques de leur pochette

notre histoire, tu la verras défiler dans ta tete

 

Alors chut, pose doucement un doigt devant ta bouche

Et lutte, efface de ta mémoire ces mots qui nous touchent

Brule, ces images qui nous plongent dans la solitude

 

Ecoute, ce qu'il reste de nous

Immobile et debout

Une minute de silence

 

Ce qu'il reste c est tout

de ces 2 coeurs immenses

et de cet amour fou

et fais quand tu y penses

en souvenir de nous

une minute de silence

 

...

 

 

 

 

 

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 17:12

Moi oui...

lien : http://violence.morale.over-blog.com/article-le-besoin-de-reconnaissance-dependance-affective-78148428.html

Le Besoin de Reconnaissance

par Reikilibrium, vendredi 24 juin 2011, 08:53

DÉPENDANCE AFFECTIVE

 

 

Qu’est-ce qui vous pousse à vous plier en quatre pour tous, à vouloir être aimé de tous, à vous perdre dans les autres ? Pourquoi le jugement et la critique négatifs vous broient ? Pourquoi êtes-vous terrifié par le rejet ? Pourquoi souffrez-vous de la solitude, du manque d’attention de votre patron, de votre conjoint, de vos amis, de vos enfants ? Ce n’est pas par besoin d’affection : C’est parce que vous avez développé un besoin viscéral de reconnaissance. Je ne peux pas te donner de l’affection si je ne te vois pas ! Ca vous fait plaisir de recevoir un compliment sur votre attitude, votre travail, votre vie, ce qui est tout à fait légitime. Mais quand vous êtes prêt à n’importe quoi pour avoir cette reconnaissance, que c’est plus fort que vous et, surtout, que vous souffrez mille morts lorsque vous ne recevez pas en permanence cette reconnaissance : vous avez un problème.

 Plus vous courez après, plus vous vous décarcassez pour en avoir, moins vous en avez. Et ce qui s’inscrit sur votre “site Internet subliminal” c’est : “Je ferai tout et n’importe quoi pour être reconnu, ne me rejetez pas !”. Vous attirez immanquablement des gens qui en profiteront mais ne vous reconnaîtront pas ou si peu, juste pour continuer à profiter de vous.

Vous donnez votre 100 % au travail parce que vous voulez impressionner votre patron et obtenir des compliments : vous allez droit au burnout. Faire bien ce pour quoi vous avez été engagé est suffisant : pourquoi vouloir y passer tout votre temps pour être repéré par le patron, non pas pour une augmentation, mais pour un compliment, une tape dans le dos, des félicitations ? Quand un patron vous donne un bon salaire et des augmentations, c’est suffisant pour comprendre que vous êtes reconnu pour votre travail, non ? Non ! Vous voulez aussi les compliments qui vont avec. Le pire étant que s’il se contente de vous dire que vous êtes bon, sans augmentation, ça peut vous suffire !

 D’où vient ce besoin viscéral d’être reconnu ? Les parents nous doivent Reconnaissance + Affection + Protection. Pour aimer quelqu’un, prendre soin de lui, il faut le voir, le reconnaître. Quand vos parents, pris dans leurs propres névroses, ont oublié de vous aimer, de vous encourager, de vous complimenter, de vous encadrer, démontrant que vous existez pour eux, vous risquez de chercher cette reconnaissance toute votre vie.

J’ai entendu dire qu’à l’époque où les humains avaient le corps recouvert de poils, les bébés s’y accrochaient comme le font les bébés singes. Puis Cromagnon s’est transformé et a perdu cette pilosité à laquelle s’accrochaient les petits : il a donc fallu que le bébé trouve un autre moyen d’attirer l’attention de sa mère, étant donné qu’il ne pouvait plus s’y agripper : <span>il a appris à sourire pour l’attendrir et l’attirer afin qu’elle s’occupe de lui</span>. Car pour qu’une mère donne des soins à un enfant, il faut qu’elle le reconnaisse comme le sien ou, dans le cas de celles qui adoptent ou en font un métier, comme un enfant qui a besoin d’elles. C’est à la naissance que se crée le besoin de reconnaissance : l’enfant doit être reconnu par ses parents comme le leur, un membre du clan qu’ils vont aimer et protéger. Sinon, il sera rejeté et abandonné. Dans des orphelinats d’Europe de l’Est, des bébés se sont laissés mourir par manque d’attention : par carence en personnel, ils n’étaient que nourris, mais pas touchés ni dorlotés et restaient dans leur petit lit toute la journée, sans affection. Mais pour recevoir de l’affection, l’enfant doit être reconnu comme un être aimable que sa mère ou une autre personne a envie de chérir.

Nos parents nous doivent reconnaissance, affection et protection. La reconnaissance passe en première car l’enfant, encore une fois, doit être reconnu comme celui de son père et sa mère et comme faisant partie de la famille. Une fois reconnu, il pourra être aimé et les parents prendront soin de lui. D’ailleurs, la formule consacrée quand un enfant né est « il a été reconnu par son père ». Ce qui signifie que le père l’a accepté comme son enfant et qu’à partir de là, il est sensé lui apporter les soins qui s’imposent. La plus grande souffrance pour certains n’est-elle pas d’être de père et mère inconnus ? Ce qui signifie que les parents, la mère en l’occurrence, n’ont pas voulu vous reconnaître comme leur enfant. Vous vous demanderez toute votre vie pourquoi un homme et une femme ont décidé de vous abandonner : ne pas reconnaître que vous étiez leur enfant. Et même si vos parents vous ont élevé, il se peut qu’ils ne vous aient pas reconnus comme un enfant ayant besoin d’affection et de protection, mais comme un souffre-douleur, le symbole de leur vie ratée parce qu’ils ont été obligés de se marier : votre maman est tombée enceinte accidentellement. Ils seront des pourvoyeurs, mais pas des parents, incapables de vous donner reconnaissance, affection et protection, parce qu’ils ne vous ont pas désiré. Ou alors ils vous désirent, mais restent des pourvoyeurs uniquement parce que c’est ce qui leur a été enseigné.

Si je te reconnais comme mon enfant, automatiquement je te donne de l’affection et je prends soin de toi. Un père et une mère ont le fruit de leur amour entre les bras et ils le chérissent comme ils se chérissent entre eux, veillant à ce qu’il soit heureux et bien soigné. Ils l’aiment, le protègent et le cajolent parce qu’ils le reconnaissent comme leur enfant. Mais quand l’enfant est un accident et que ses parents se déchirent à longueur d’années parce que sans la grossesse, ils ne se seraient pas choisis pour époux, ce n’est plus le fruit de l’amour qui grandit, dont il faut prendre soin : c’est le résultat d’une étreinte qui est devenue une prison pour les deux protagonistes. Même quand les parents se sont mariés parce qu’ils se sont choisis, puis déchirés parce qu’incapables d’être heureux, les enfants ne seront que les soldats dont l’un des parents se servira contre l’autre, contrôlant les petits avec la culpabilité : « si tu aimais ta mère, tu ferais cela », « tu vas me faire mourir », « tu vois bien ce que ton père/ta mère me fait », etc.

Quand le père laisse la mère seule avec les enfants et part de longues périodes ou travaille tout le temps pour ne plus rentrer ou s’il rentre, plus personne ne doit faire de bruit ou exister pour ne pas le déranger ; quand la mère se sert de ses enfants pour aller chercher le père à la taverne et pour le ramener, qu’elle laisse ses enfants de côté dès qu’elle a un amant, qu’elle oublie de les nourrir parce qu’elle veut du plaisir, au milieu d’une vie de souffrance, reconnaissent-ils les enfants, comme des petits êtres à chérir, à protéger et dorloter ? Non, ils les considèrent comme des obstacles à leur propre vie, à leur liberté, à leurs plaisirs. Pourtant, fils et filles ne sont pas responsables, essaient de surnager dans une famille « dysfonctionnelle », font leur possible pour plaire à leur mère, à leur père pour être reconnus, avoir de l’attention, de l’affection, exister. L’enfant sent très tôt qu’il est une gène et il tente désespérément de se faire « adopter » par ses propres parents. Mais rien n’y fait : il reste une plaie, un échec, un outil, une arme qu’on utilise pour faire souffrir l’autre ou par se soulager. L’enfant subira les colères, la violence qui est, la plupart du temps, destiné au conjoint mais qu’on n’ose pas frapper. L’enfant paiera pour ce qu’a fait la mère ou le père, il subira tout pour être aimé, ne recevra que des coups et des violences verbales, mais aura au moins la sensation d’exister : pour vous maltraiter, il faut reconnaître que vous existez. Sinon, c’est l’ignorance qui est pire que le rejet.

Car un enfant qui a été frappé aura plus de chance de s’en sortir, s’il fait un coaching ou une thérapie, qu’un enfant qui a été nié. Car pour être frappé, il faut être vu, donc reconnu comme existant mais non comme enfant à choyer. L’enfant nié n’est ni vu, ni reconnu : il n’existe pas. Celui qui est frappé est vu et existe, même si le moyen de communication du parent est la violence. Les mêmes parents qui ont souvent vécu la même chose et répètent ce que leurs propres parents leur ont fait subir : la rancune, la colère, l’écœurement, l’échec, la déchéance. Un enfant a besoin d’une attention constante quand il vient de naître et il lui faut des parents présents et disponibles, heureux pour le rendre heureux. Déjà en déséquilibre, comment des parents pourraient-ils s’occuper affectueusement de leurs enfants ? Encore une fois, il faut être disponible et la souffrance ne permet pas la disponibilité. Si les parents sont entrés en guerre, ils prendront les enfants en otages, en chantage affectif et rendront leurs petits responsables de leur malheur, eux qui s’évertueront toute leur vie à faire de leur mieux pour les rendre heureux… vainement. Car les enfants ne peuvent en aucun cas être responsables des parents ni les rendre heureux. C’est dans l’autre sens que ça marche !

Pas reconnu dans l’enfance, pas reconnu en tant qu’adulte : c’est la suite logique. Et la reconnaissance dont vous avez tant manqué enfant va se muer en besoin insatiable de reconnaissance dans votre vie d’adulte. Vous ferez tout et n’importe quoi pour être reconnu comme un être aimable. Vous vous plierez en quatre pour un conjoint, de faux amis, de mauvais patrons qui profiteront tous de votre besoin de prouver que vous êtes quelqu’un de bien, qu’on peut aimer. Mais ces gens-là ne vous aiment pas : ils vous tondent la laine sur le dos ! Ou encore vous deviendrez une star dans un domaine professionnel pour obliger les autres à vous reconnaître : un performant qui n’a pour objectif que d’écraser les autres pour les obliger à vous regarder en levant le nez. Vous tomberez dans des travers divers et variés pour que les autres vous voient : ça se traduira par une brillante carrière professionnelle ou par le fait de faire la fête et d’offrir chaque soir de paie un verre à tous ceux qui sont dans le bar. Ce ne seront pas vos amis, mais des compagnons de beuverie ou de drogue, qui profiteront de votre besoin d’être reconnu pour se faire payer un coup ou plusieurs. Mais jamais ils ne diront « regarde comme il est généreux », ils diront « on va se faire payer un coup par l’autre idiot ».

Vous aurez besoin d’être reconnu comme quelqu’un de bien par le conjoint, comme un bon travaillant par votre patron, comme un ami généreux par des faux amis, comme un bon voisin qui ne dit jamais non et tout ça par besoin de reconnaissance. Parce que vos parents ne vous ont pas démontré que vous existez sans avoir à le prouver. Vous reconnaître vous-même vous libère du fait de vous faire reconnaître par les autres. Quand vos parents, au travers de leur affection et de leur protection vous ont montré que vous existez pour eux, vous existerez pour vous dans votre vie d’adulte. Vous n’aurez plus ce besoin incontrôlable d’être aimé de tous. Ce qui est d’ailleurs impossible. Vous vous aimerez vous, pour commencer, puis choisirez ce que vous aimerez, conjoint, amis, patrons, etc. Car le besoin de reconnaissance fait de votre vie un esclavage : vous êtes au service de gens qui se moquent bien de vous, comme vos parents se moquaient bien de vous également. Vous répétez ce que vous avez vécu, ce dont vos parents vous ont imprégné. Vous avez grandi esclave de vos parents, vous serez esclave de tous les gens que vous croiserez.

Le pire sera quand vous aurez tout fait pour quelqu’un, conjoint, amis, patrons, relations, et que l’autre ne vous reconnaîtra même pas et vous exploitera jusqu’au bout de ce que vous pouvez donner, pour vous rejeter dès que vous n’aurez plus rien à offrir. Vous souffrirez mille morts car « après tout ce que vous avez fait pour lui/elle », il ne vous a même pas aimé ou remercié ! Bien sûr que non puisqu’il était indiqué sur votre « site internet subliminal » : « prends-moi tout et ne me donne rien, j’ai l’habitude ! ». Vous n’attirerez que des vautours, des charognards de la pire espèce qui profiteront de vous, parce que vous êtes programmé pour vous faire dépouiller. Ou alors vous aurez vous-même pris tout ce que vous pouviez prendre, pour dominer les autres, pour donner des leçons, pour en prendre le contrôle, pris dans un tourbillon, en besoin d’oxygène, prêt à l’arracher aux autres. Jusqu’au jour où vous ouvrez les yeux et le bilan fait mal : vous avez été dans la performance, dans la domination puis dans l’esclavage, tout dépendant de votre passé et de votre histoire, mais vous aurez abouti au même point : ceux qui vous auront tout pris ou dont vous aurez tout pris seront partis et vous resterez seul. Plus vous aurez besoin d’être reconnu et quel que soit le moyen que vous emploierez, moins vous le serez. Parce que la seule personne qui peut vous reconnaître, c’est vous.

Vous reconnaître vous préserve des jugements négatifs, des critiques et des blessures que peuvent vous infliger la jalousie, les peurs et les frustrations des autres. Si vous savez que vous êtes quelqu’un de bien, personne ne pourra jamais vous faire croire le contraire, quels que soient ses commentaires. Personne ne sera en mesure de vous influencer sur l’opinion que vous avez de vous, personne ne vous déstabilisera, personne ne vous ébranlera. Vous reconnaissez vos forces et vos points à développer et quand vous vous regardez dans le miroir, c’est une bonne personne que vous voyez, qui a traversé des tempêtes, qui a fait ce qu’elle a pu pour en sortir et qui vivait selon de mauvaises programmations, qu’elle est en train de déprogrammer. Nous avons pratiquement tous vécu comme des animaux blessés, agressifs et prêts à bondir ou à se soumettre pour un peu d’attention. Pas d’attention sans reconnaissance.

 

Que fait une femme qui sort dans un bar, quand elle veut avoir l’attention, donc la reconnaissance qu’elle est belle, de la part des hommes ? Elle découvre sa poitrine et ses jambes car elle pense qu’elle va attirer l’attention, mais en réalité, son attitude et sa façon de s’habiller, ainsi que ses artifices appellent au sexe ! Elle sera reconnue comme un objet sexuel et non comme une femme possédant de belles valeurs et ayant envie de discuter avec un homme courtois.

 

Nous avons tous utilisé les pires artifices vous se faire reconnaître du sexe opposé, de nos patrons, de nos clients, de nos amis, etc. Comment faire quand nos parents ne nous ont pas remarqués ? Nous allons mettre « le paquet » pour nous faire reconnaître dans nos vies d’adultes. Jamais de la bonne façon. Les femmes vont utiliser le sexe et les hommes les belles voitures, l’argent, le cliquant. Nous tombons tous dans les mêmes pièges, pour un peu de reconnaissance. Pensant qu’être reconnus, nous donnerons de l’affection. Mais nous ne faisons que nous faire reconnaître par les vautours en mal de proies qui sont faits pour dépouiller, par instinct de survie. Nous ne nous distinguons jamais de la bonne façon et jamais par les bonnes personnes. Parce que les bonnes personnes n’aimeront jamais notre façon de nous distinguer pour nous faire reconnaître, remarquer. Un homme équilibré affectivement n’ira pas vers une femme qui se comporte comme une femelle en chaleur et une femme équilibrée ne se laissera pas « acheter » par le clinquant d’un homme qui joue là-dessus pour séduire. Montrer ses seins ou son argent pour « piéger » est un procédé utilisant des artifices qui attirera des gens artificiels.

Ce besoin de reconnaissance peut être réglé au travers du développement de la confiance et l’estime, car enfin, ce que les parents n’ont pas été capables de nous donner, Reconnaissance, Affection et Protection, c’est à nous de nous le procurer, adulte. Nous ne sommes plus des enfants et si nos parents n’ont pas pu le donner quand nous en avions besoin, ils ne le pourront pas aujourd’hui, alors que nous sommes adultes. C’est à nous de prendre le relai et chaque fois que quelqu’un cherche à nier notre existence, par le rejet ou l’abandon, c’est juste de penser que cette personne a quelque chose à régler, comme vous l’aviez par le passé. Et si quelqu’un vous signifie que vous n’êtes pas la bonne personne pour lui, il vous fait gagner du temps car vous êtes la bonne personne pour quelqu’un d’autre, en amour, au travail ou en amitié.

Vous existez à partir du moment où vous décidez de vous reconnaître : n’attendez pas des autres, ce que vous pouvez faire vous-même !

Par Kilou - Publié dans :
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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 18:28

je vais bien, merci à ceux qui prennent des nouvelles, je me sens legère, je me sens changer en ce moment, je me suis coupée les cheveux, je suis toujours grosse mais bon c'est mon destin, mais malgré ca j'essaie d'etre jolie...

 

j'ai envie de vivre. il m'aura fallu plus de 3 ans depuis la prise de conscience...

 

Rien n'est gagné, mais c'est dejà ca de pris...

 

et vous?

 

 

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 22:25
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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 17:58

 c'est moi il y a quelques temps... tout est vrai, 2 etres differents, en solo et face aux autres...

 

mot utilisé dans la video "lobotomiser"

 

A RETENIR : OUI ON PEUT S EN SORTIR

 

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 17:52

je suis à 100 % d'accord et je trouve cette petite video interessante...

 

 

 

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