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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 18:38
Bonsoir,

je n'y arrive pas...j'ai l'impression qu'il fait partie de moi et que je suis rien sans lui...il me manque terriblement...
ma pensée a été avec lui toute la journée. ma souffrance aussi...ce terrible sentiment de ne pas exister et de n'attendre que lui pour exister de nouveau...

je prie pour que ce que je ressens aujourd hui disparaissent au plus vite.

mais où est l'antidote? ou est ce une mort lente qui m'attend...

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commentaires

L
<br /> Je sais pas où tu en es aujourd'hui j'ai pas encore tout lu^^ mais j'espère que tu vas mieux en tout cas moi je doute encore qu'il soit PN mais la ce que je viens de lire, ce que tu ressentais je<br /> pourrais l'écrire moi actuellement c'est exactement ce que je ressens!<br />
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G
<br /> <br /> je vais mieux oui. Depuis début octobre date de ma deniere entrevue avec lui j'ai par surprise oublié pratiquement son existence! puis en ce moment, ma vie, les pb de santé de ma<br /> maman m'empechent encore plus de penser à lui c'est donc qu'il n'est pas essentiel! tu doutes qu'il soit PN c'est normal c'est une etape obligatoire avant la prise de conscience<br /> definitive!<br /> <br /> <br /> <br />
A
J'avais mis son comportement sur le compte de l'alcool. Suite à une emission de Tv, j'ai fait des recherches, lu beaucoup de témoignages,repensé à toutes les situations vécues durant l'année écoulée, j'en ai enfin désuit qu'il était un PN. je le lui ait dit carrément, envoyé des articles :réaction verbale assez violente :j'ai persisté, je suis restée sur ma position (non sans mal) jusqu'à ce qu'il craque. Je suis à présent libérée ; pour moi c'est une psycho pathologie : manque d'affect dans l'enfant, cet affect que le PN essaie de se procurer chez l'Autre.<br /> C'est un malade : la question est "comment le soigner", peut-on par exemple recourir à une HDT (hospitalisation sur demande d'un tiers) afin qu'il soit vu par un psychiatre.<br /> Quoiqu'il en soit, il faut éviter tout contact, même si vous pensez ne plus être dépendante. Si vous faites vie commune, parlez en à votre médecin, consulter un psychologue ou une association de victimes de PN.<br /> Prenez un autre chemin, bordée de fleurs : la vie <br /> continue ...
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N
Lili,<br /> <br /> Je suis désolée de ce qui t'arrive. C'était hier, j'espère qu'aujourd'hui ça va mieux.<br /> Je ne sais pas si tu vas pouvoir croire "une vieille" qui sort tout doucement de ce genre de relation.<br /> Je suis partie du domicile conjugal il y a 3 ans et demi. Au début de l'été je fêterais mes 3 ans de divorce. Ces décisions ont été les plus douloureuses que j'ai eu à prendre dans ma vie. Je les aies prises parce que je me sentais en très grand danger. Je sentais mon intégrité, surtout mentale, très menacée. <br /> <br /> Mais cela n'a pas empéché les crises de manque et de désespoir comme celle que tu viens de traverser. <br /> A quoi bon, se dit -on dans ces moments là, tous ces efforts, s'ils ne mênent à RIEN DE BON , ou à RIEN tout court ou à la MORT lente ? <br /> Mais c'est une crise, et après la crise le calme revient, tu ne crois pas ?<br /> <br /> J'espère que tu me croiras si je te dis qu'au fil du temps ces crises s'espacent et qu'à chaque fois on en sort un plus forte et un peu plus confiante en soi et en la vie.<br /> C'est comme si on franchissait un palier, un degré supplémentaire sur le chemin du bonheur.<br /> Et puis, petit à petit, j'ai été capable d'aprécier des situations où je me disais : "qu'est ce que c'est bon même sans toi".<br /> Et puis je suis passée au stade "que c'est bon, surtout parce que tu n'es plus là, ni à mes côtés physiquement, ni dans ma tête ".<br /> Et puis viens le stade "qu'elle est belle et tellement plus simple la vie sans toi".<br /> Et encore, ... je ne me considère pas comme tout à fait guérie.<br /> <br /> Mais pour rien au monde je ne retournerai en arrière. JAMAIS. La seule chose que je regrette c'est de ne pas être partie plus tôt.<br /> <br /> NB : je crois que n'importe quel être humain victime d'une drogue quelconque pourrait dire la même chose que ce que nous racontons toutes ici.<br /> <br /> Allez, Lili, le printemps arrive, la vie repart dans la nature, je te souhaite un beau sourire tout doux, tout chaud dans ton coeur et un bon WE.<br /> <br /> Lili,<br /> <br /> Je suis désolée de ce qui t'arrive. C'était hier, j'espère qu'aujourd'hui ça va mieux.<br /> Je ne sais pas si tu vas pouvoir croire "une vieille" qui sort tout doucement de ce genre de relation.<br /> Je suis partie du domicile conjugal il y a 3 ans et demi. Au début de l'été je fêterais mes 3 ans de divorce. Ces décisions ont été les plus douloureuses que j'ai eu à prendre dans ma vie. Je les aies prises parce que je me sentais en très grand danger. Je sentais mon intégrité, surtout mentale, très menacée. <br /> <br /> Mais cela n'a pas empéché les crises de manque et de désespoir comme celle que tu viens de traverser. <br /> A quoi bon, se dit -on dans ces moments là, tous ces efforts, s'ils ne mênent à RIEN DE BON , ou à RIEN tout court ou à la MORT lente ? <br /> Mais c'est une crise, et après la crise le calme revient, tu ne crois pas ?<br /> <br /> J'espère que tu me croiras si je te dis qu'au fil du temps ces crises s'espacent et qu'à chaque fois on en sort un plus forte et un peu plus confiante en soi et en la vie.<br /> C'est comme si on franchissait un palier, un degré supplémentaire sur le chemin du bonheur.<br /> Et puis j'ai été capable d'aprécier des situations où je me disais : "qu'est ce que c'est bon même sans toi".<br /> Et puis je suis passée au stade "que c'est bon, surtout parce que tu n'es plus là, ni à mes côtés physiquement, ni dans ma tête ".<br /> Et puis viens le stade "qu'elle est belle et tellement plus simple la vie sans toi".<br /> Et encore, ... je ne me considère pas comme tout à fait guérie.<br /> <br /> Mais pour rien au monde je ne retournerai en arrière. JAMAIS. La seule chose que je regrette c'est de ne pas être partie plus tôt.<br /> <br /> NB : je crois que n'importe quel être humain victime d'une drogue quelconque pourrait dire la même chose que ce que nous racontons toutes ici.<br /> <br /> Allez, Lili, le printemps arrive, la vie repart dans la nature, je te souhaite un beau sourire tout doux, tout chaud dans ton coeur et un bon WE.
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T
accroche toi... accroche toi... car dis toi que ta vie est une libération sans lui. Je sais que c plus facile à dire qu'à faire alors que moi je n'arrive même pas à me détacher et pourtant je voudrais être libérée tant cette relation me fait souffrir. Demande toi au fond si c'est vraiment lui qui te manque ou un objet d'affection, de tendresse et d'amour... Il faut bien se dire que ton bonheur sera certainement ailleurs comme le mien l'est tout autant. Je sais il y a tjs certaine envie irrésistible d'y croire encore, d'y croire vraiment, de croire qu'on est vraiment leur femme de leur vie et eux l'homme de la notre mais si ct le cas, crois tu que notre vie serait souffrance depuis autant d'années ou nous sommes nous bercées d'illusions auxquelles nous nous accrochons encore désespéremment. Lors d'une formation que j'ai suivi la semaine dernière, j'ai entendu cette citation et je pense qu'elle résume peut-être un peu ce que nous ressentons et pourquoi nous continuons à espérer " C'est le temps que tu as perdu pour ton rose, qui fait ta rose si importante..." A méditer.<br /> Bon courage... j'ai le même coeur serré ce jour
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